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La France en 4050 à été envahi par les démons faisant de ce pays, un royaume d'esclave !
 
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 Un quiproquo peut changer le sens du mot liberté... [Charles Dufour]

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Aisu Samui
†Esclave fugitive malgré elle†
Aisu Samui


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MessageSujet: Un quiproquo peut changer le sens du mot liberté... [Charles Dufour]   Un quiproquo peut changer le sens du mot liberté... [Charles Dufour] EmptyVen 29 Avr - 4:25

Le marché aux esclave, un lieu... Ou l'on aimerait jamais y mettre les pieds, ou, quand on y est retenu prisonnier, l'on ferait n'importe quoi pour en partir, même fuir, même défoncer sa grille pour partir... Des murs gris a perte de vue, des cages, elles aussi a pertes de vue... Une odeur de sang, de mort et de besoin naturel prédominait dans ce lieu sombre, glauque et où l'on ne souhaiterait même pas à son pire ennemi de subir ce que chaque esclave retenu prisonnier et ces lieux subissait chaque jour... C'est ici que chaque hybrides ou humains ou ceux qui tentent de s'opposer aux démons, aux fondateurs que finissent quand ils sont fait prisonnier après avoir été attrapé... Mais attardons nous à l'occupant de l'une d'entre elle, une hybride, deux années qu'elle était enfermée ici, le visage et le corps salit par les coups, le sang qui avait coulé et la poussière qui la recouvrait, surtout ses oreilles blanches qui avaient virée au noir... Hybride fugitive, hybride rebelle, hybride esclave... La lapine qui avait été faite prisonnière en ses lieux l'avaient été après avoir été témoin du meurtre de sa mère... Sora Samui, qui pour protéger sa fille a donné sa vie, même si ça n'a servit à rien... Sora, qui ressemblait étrangement à sa fille présentement en cage...Le nom de l'hybride enfermée dites-vous ? Aisu Samui...

Aisu, prisonnière des démons et autres êtres démoniaques depuis maintenant deux ans... Voyant souffrir et mourir bon nombre d'humain et d'hybride, plus rien n'étonnait la pauvre petite lapine qui subissait souvent les coups de ses êtres sans scrupule, le corps marqué par les coups, oui, la lapine en avait souvent prit pour son compte, enfin, la rebelle que tous essaient de dressé, pour le moment, personne n'y était parvenu, peu importe le moyen, l'esclave fut classé comme invendable... Personne ne voulait d'elle, bien que sa rareté, du fait qu'elle soit une usagi, ne changeait rien, deux ans qu'elle n'avait pas vu ne serait-ce qu'une seule fois la lumière du jour... Enfin, ce n'était pas vraiment pour la déranger, après tout... La lapine se trouvait être albinos... Mais, apparemment les démons, dans ce marché ne semblait pas vraiment connaître le sens du mot douche... La plupart de ses congénères prisonniers depuis plus longtemps qu'elle avaient eux aussi prit un peu la poussière... Les classés invendables... Ceux trop rebelle pour être vendu a un maître, ou ceux trop docile pour certains maîtres, ou usé par le temps, c'est par ici que se trouvait Aisu, la lapine qui aurait donné n'importe quoi pour conserver la liberté qu'elle avait avant...

Mais n'allez pas vous y méprendre, sous ses airs doux et son visage d'ange, elle est en réalité une vrai petite peste qui fera n'importe quoi pour vous rendre la vie infernale... En effet, Aisu a passé cinq années de sa vie avec ses parents a se cacher, coupée du monde, même plus le droit de voir ses amis, ni même leur écrire ou leur donner un coup de téléphone ou même donner simplement de ses nouvelle, aller les voir... Depuis leur retour du Québec... L'hybride n'était plus que l'ombre d'elle même, plongée dans la solitude, ne plus pouvoir rien faire de ses journées hormis attendre, attendre que le temps passe inexorablement... Oui Aisu durant ces cinq années de fugue... Aisu était devenue en quelques sorte sauvage, une petite rebelle, par la faute de sa mère elle était devenue ce qu'elle est aujourd'hui...

Dans le fond de sa cage, la lapine poussa un long soupire alors qu'elle ferma ses yeux rouges, des yeux rouges sang, non pas du au fait qu'elle soit de la race démoniaque, mais, du fait de sa maladie, enfin, ça ne l'empêchait pas de voir a peu prêt bien... Enfin il est sur qu'elle ne verra jamais comme un démon ou un humain qui n'a aucun problème de vue, mais, tant que ce n'était pas un handicap, la lapine était déjà bien contente de voir, couché, en boule, dans le fond de sa cage, voilà les yeux fermés, dos a la porte de sa petite cage, la lapine fini par les rouvrir, regardant le mur de sa prison... Car oui, elle était pratiquement ni plus ni moins qu'en prison, attendant, sans plus vraiment y croire, le jour ou elle aura sa carte de sortie... Le jour ou elle pourra enfin retrouver un semblant de goût de liberté, marché, courir, gambader, ne plus supporter les coups de fouets... La lapine s'assit dans sa cage, toujours face à ce mur, secouant ses oreilles noircie par la poussière de ces années d'enfermement... Ce qui eut pour effet de la faire éternuer... Le début d'une journée de plus qui commençait ? A moins que ça n'en soit la fin ? Aisu n'en savait plus rien... Deux ans a vivre le même calvaire, on perd très vites ses repères, faisait-il chaud ? Faisait-il froid ? Allez savoir... Une journée de plus a vivre ainsi, sous le regard des démons qui vous observes, cherchent a vous négocier et, quand ils pensent arriver a vous avoir, se rendent compte que vous restez inaccessible pour eux... Soit de par votre caractère, soit parce que ce scélérat de vendeur dit que vous être trop rebelle pour que vous puissiez être acheté... La dur loi de la réalité pour la lapine...

Une journée de plus ou, Aisu était restée dos à la grille de sa cage... Cette chose qui sert de porte... Solidement verrouillée, Aisu se rallongea, roulée en boule, rien ni personne semblait pouvoir la sortir de ses pensées, elle ne répondait même pas aux paroles de ceux qui lui parlait, faisant la sourde oreille, les démons et autre être démoniaques laissaient tous tomber l'affaire, ne voulant pas d'une esclave sourde, du moins, c'est ce qu'ils pensaient.... La lapine ne souhaitait simplement pas répondre, même le vendeur quand il lui adressait la parole se prenait des vents monumentaux ou à quelques rare exceptions d'un « Je t'emmerde ! » ou « Fiche moi la paix ! » ou encore un simple « Libère moi et relâche moi ! » enfin bref, hormis ce genre de phrase la, tous se prenaient des vents monumentaux de la par de la jeune lapine dans sa cage...

Une journée de plus et le plus grand des silences pour la lapine roulée en boule dans sa cage, ne regardant même pas la porte de sa cage, qu'avait-elle donc fait pour mériter ce sort ? Aisu laissa un nouveau soupire s'échapper de sa bouche, ses vêtements, dans un état lamentable d'ailleurs étaient composé d'un uniforme d'écolière style japonais, composé d'une jupe bleu nuit, d'une chemise blanche, une cravate rouge et une veste assortie à la jupe... La tenue était dans un état lamentable, trouée de toute par, à cause du fouet ou encore bien d'autres objets de torture dont elle a fait les frais... Aisu se demandait si un jour elle retrouvera sa liberté, celle qu'elle aurait tant souhaité ne jamais perdre... Décidément, depuis cette histoire de fuite du Québec... Aisu avait vraiment tout perdu... Et être au fond d'une cage attendant une possible sortie c'était sans doute le fond, elle n'avait jamais sut le pourquoi ils avaient du fuir... Et sans doute qu'elle n'aura jamais la réponse à cette question... Où il sera sans doute déjà trop tard quand elle le saura...

Dans le fond de sa cage, une petite voix se faisait entendre de temps en temps, c'était Aisu qui chantonnait dans sa cage... On passe le temps comme on peut non ? Et l'hybride avait apprit à le passer de cette manière la, l'hybride chantonnait une chanson que ses parents et plus précisément sa mère lui avait appris pendant qu'ils étaient en fugues... C'est alors que la jeune lapine arriva au refrain :

« My shadow's the only one that walks beside me,
My shallow heart's the only thing that's beating,
Sometimes I wish someone out there will find me,
'Til then I walk alone. »
[clik here]

Le désire de la lapine de sortir de cet enfer était plus fort que tout, mais, pour le moment elle se contentait de passer le temps comme elle pouvait, malheureusement, c'est tout ce qu'elle pouvait faire, même si ça énervait les vendeurs personne n'avait réussi à la faire taire et ses voisins dans les cages d'à côté adorait écouter l'hybride chanter, ça les aider a tuer l'ennuie comme elle le faisait elle pour tromper son propre ennuie d'être ainsi enfermée dans cette cage, car, oui, la lapine commençait sérieusement à en avoir marre de vivre enfermée dans cette stupide cage qui la retenait prisonnière maintenant depuis deux longues années... Elle n'espérait qu'une chose, sortir, même si elle faisait en même temps tout pour dissuader les potentiels acheteurs de l'approcher, ironique n'est-ce pas ? Et pourtant, c'est ce qu'elle faisait, personne n'avait encore oser la faire sortir, ce temps serait-il à présent révolu ? Trouvera t-elle enfin le maître qui la fera sortir de cette cage ? Elle même n'en savait rien, mais, ça ne l'empêchait pas de chantonner pour l'instant...
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Charles Dufour

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MessageSujet: Re: Un quiproquo peut changer le sens du mot liberté... [Charles Dufour]   Un quiproquo peut changer le sens du mot liberté... [Charles Dufour] EmptySam 30 Avr - 17:06

(Le marché des esclaves, un lieu... Où l'on aime grandement être, m'enfin, y'a l'odeur, mais si on exclue ça, c'est quand même le paradis du tortionnaire ou de l'acheteur habile... Ou encore de l'un de leur fournisseur, le chef de la sécurité de France. Car, si vous ne le saviez pas, après la torture ou simplement la capture, si il ne savent rien d'intéressant, visiblement, beaucoup de victimes de cet homme atterrissent ici ou dans une fosse funéraire, souvent commune. Donc, bien qu'il aide au ravitaillement, il ne vient que très rarement dans cet endroit, ce n'est pas l'odeur qui le répugne, il a sentit pire, ni la vue, il a vu pire, ni un coté humaniste, il ne l'es plus depuis un bon moment, simplement un horaire chargé et, habituellement, pas vraiment besoin d'esclave, des fonctionnaires faisant le boulot, ou des robots. Pourquoi est-il à cet endroit alors me demanderez vous? En partie une visite de courtoisie, mais aussi par curiosité, il n'y étais pas entrer depuis... son ouverture diras t-on, il envoyait plutôt des subordonnés s'occuper de faire ses simples transferts de prisonniers. On pourrait, en fait, voir cela comme un système pénal pour les larcins pas si graves que ça... les autres étant punis par la mort habituellement... Bref, je m'égare, le soldat, affublé d'un uniforme bleu très sombre, de peu de signe de son haut grade se présenta devant la porte, avant même que celle-ci, automatiquement, ne s'ouvre, on venait le recevoir avec une courbette, il fit signe de la main de cesser, ce qui fut faire, pour être très exact, c'était le cruel gérant. Une conversation imperceptible pour les esclaves et autres employés qui regardait timidement. Certains des premiers, soit ce cachait aussi impossiblement qu'il le pouvait, l'autre le regardait avec haine, d'autres ne le connaissait pas, donc ne savait pas comment réagir. Après quelques minutes, un peu de rire du gérant, mais pas beaucoup d'expressions du visiteur, ils passèrent à marcher dans les rangés, regardant les esclaves...)
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Aisu Samui
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MessageSujet: Re: Un quiproquo peut changer le sens du mot liberté... [Charles Dufour]   Un quiproquo peut changer le sens du mot liberté... [Charles Dufour] EmptyDim 1 Mai - 4:18

C'est dans le fond du marché que se trouvait la jeune lapine qui ne s'était pas arrêtée de chantonner pour autant, ses voisins de cages l'écoutant sans se lasser, comme l'illusion que le temps passait bien plus vite dans ces conditions... Aisu n'avait pas non plus quitté la position qu'elle avait, celle couchée, roulée en boule dans le fond de sa cage et faisant dos à la grille qui lui servait de porte, la lapine regardait le mur quand elle n'avait pas les yeux fermés... L'hybride se fichait un peu de ce qui se passait à l'extérieur de sa cage en réalité, il pourrait bien y avoir l'un des fondateur devant sa cage qu'elle s'en foutrait, mais alors, royalement... La lapine aux longs cheveux mauves n'était pas le genre à essayer de se faire remarquer loin de la même, elle était plutôt du genre à rester discrète et toujours dans son petit coin, peu importe la personne qui pouvait se dresser devant sa cage, la lapine n'avait jamais essayer de se faire remarquer, même si du fait qu'elle soit une usagi faisait qu'elle se faisait quand même rapidement remarquer parmi tout ces nekos et humains qui étaient eux aussi enfermés dans ces cages...

Rareté inaccessible à cause de son caractère, beaucoup de démon avait jeté l'éponge quand à l'acheter, un dressage en plus de l'acheter serait sans doute beaucoup trop long pour cette lapine qui n'a jamais obéit à un seul ordre et ce n'était sans doute pas aujourd'hui que ça allait commencer, bien déterminée pour cela à en faire voir de toute les couleurs à son futur acquéreur... L'être démoniaque qui osera l'acheter allait sans doute avoir de quoi s'occuper pour la dresser car oui, la lapine n'est pas du genre à se laisser faire, ni même se laisser marcher sur les pieds, bien qu'elle ne soit nul autre qu'une esclave... Elle n'était peut-être qu'une esclave d'apparence mais, son esprit était loin d'être conditionné comme tel...Une bouille d'ange qu'on croirait presque docile peu très bien cacher en réalité un caractère bien trempé et rebelle...

L'hybride prisonnière de sa cage n'en démordrait pas quand à obéir, la désobéissance et le refus d’obtempérer sont sans doute ses maîtres mots, pour elle, celui qui la dressera et la rendra docile n'était pas encore né, de toute façon, ils étaient déjà bien trop trouillard à essayer d'acheter la lapine pour tenter quelque chose, préférant la garder enfermée, chose qui la rend encore plus exécrable... Enfin ça, ce n'est qu'un léger minuscule microscopique détail de rien du tout... Un détail qui veut quand même dire beaucoup pour Aisu qui s'était jurée de ne pas obéir, qui sait combien de temps elle tiendra, mais, ce qui était certain, c'est qu'elle ne lâcherait pas l'affaire aussi facilement et ceux qui s'y étaient essayés avaient généralement fini par jeter l'éponge, les vendeurs étaient vraiment prêt à se débarrasser de l'hybride, même s'ils devraient la vendre, même si ça devait être à un prix totalement dérisoire, ou extrêmement cher, à la pire créature qu'il puisse exister, même si pour cela elle devrait tomber entre les mains du pire truand qu'il puisse exister, mais, ils voulaient vraiment qu'elle quitte le marché et qu'elle se trouve un maître, deux ans qu'elle est la et personne n'avait voulu l'acheter, à moins qu'il n'ait en réalité une vérité caché, elle se demandait si c'était vraiment elle qui effrayait les démons et les faisaient changer d'avis où si elle était réservée depuis tellement longtemps qu'elle en devenait inaccessible sauf pour celui qui aurait le privilège de l'acheter... Mais ça, personne ne le savait et encore moins elle...

Bien sur qu'elle avait entendu l'attroupement quand la porte s'était ouverte pour la je ne sais pas combientième fois de la journée, bien qu'elle soit au fond du marché et au fond de sa cage, l'hybride entendait parfaitement la porte d'entrée automatique s'ouvrir et se fermer signe qu'il y avait de potentiels clients qu'elle faisait fuir en faisant sa sourde oreille... Aisu ferma les yeux, encore un crétin de plus à faire fuir, même s'il semblait plus puissant déjà que tous ceux qu'elle avait pu entendre ou entrevoir, le fait que ceux qui d'ordinaire font des pieds et des mains pour se faire acheter garde d'un coup le silence et semblent apeurés c'est qu'il y avait quelque chose de pas net pour l'hybride qui ne s'était pas pour autant arrêté de chanter, loin de la même, la lapine s'était même mise en tête d'en chanter une autre, quitte a s'attirer des ennuis autant le faire encore pire qu'à l'habitude non ? Enfin ennuis ou non, elle ignorait qui avait bien pu rentrer et elle n'avait même pas cherchée à regarder, ayant préféré rester bien sagement dans son coin...

La lapine n'avait peut-être pas chercher à voir, mais, savait en entendant la plupart des esclaves avoir peur, même ses voisins de cages et ceux qui étaient le plus proches... En faite, la lapine s'en fichait, la personne qui venait de rentrer était, pour elle, une infâme créature qui a conquit la France et en a fait ce Pays de Chaos et de désastre, l'hybride refusait de se laisser abattre pour le moment, peu importe ce qui devrait arriver, elle arriva au refrain de la seconde chanson qu'elle avait décidé de chantonner dans le fond de sa cage :

« 'Cuz we lost it all
Nothing lasts forever
I'm sorry
I can't be perfect
Now it's just too late and
We can't go back
I'm sorry
I can't be perfect » [Clik Here]


La lapine se fichait bien de qui avait bien pu rentrer, que les bruits de pas s'approchaient dangereusement de sa cage, l'hybride pourrait bien trouver acheteur aujourd'hui qu'elle s'en ficherait en réalité, elle voulait sortir d'ici certes, mais, en même temps était prête à tout pour rendre dingue son futur acquéreur, ironique n'est-ce pas ? La lapine semblait bien plus sereine que tous les autres esclaves, mais c'est qu'elle ignorait tout de la personne qui était rentré et même si elle le saurait, pour elle c'est encore un être démoniaque qui à rendu cette France Chaotique et désastreuse, qui a fait de ce Pays l'image même sans doute des enfers... Mais la vie est faite de surprise, le monde est plus petit qu'on ne le pense et la lapine, qui ignore tout, allait sans doute le découvrir à ses dépends... Mais ça, pour le moment elle n'en sait rien et préfère chanter dans sa cage en restant dos à la grille de cette dernière plutôt que de regarder qui ça pouvait bien être, un autre démon avide d'esclave sans doute dans l'esprit de la lapine qui chantonnait en restant en boule, c'est Aisu et on ne la changera pas comme ça du jour au lendemain, malheureusement pour le futur acheteur...
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